Le principe de la résonance magnétique est grosso modo d'exciter certaines molécules du corps humain via l'émission d'ondes électromagnétiques. En ce sens, IRM, le nouvel album de Charlotte Gainsbourg porte fort mal son nom, les ondes sonores qu'il émet n'excitant pas grand chose. La voix frêle, plus occupé à susurrer qu'à vraiment chanter, que j'aime tant détester dans la chanson française, ta mère faisait déjà ça il y a 40 ans Charlotte. Comme sur le précédent 5:55, le single Heaven Can Wait était aguicheur, mais le reste n'est pas au niveau. Pas pénible mais franchement quelconque.
Reste un bon single (et une vidéo WTF sympathique) où apparait bien la patte de Beck, au commande de l'album. On lui préfèrera amplement Modern Guilt, dudit Beck, grand disque mésestimé de 2008, beaucoup plus ludique.
2 commentaire(s):
1) J'ai jamais aimé Beck (bon en gros hein)
2) Je n'ai rien contre Madame mais bon, son premier album était encore pire qu'un album de Buddah Bar
3) Le titre entendu (filé gratos sur le site de l'album) m'avait fait penser à du sous Broadcast.
Même pas envie d'écouter ce Heaven Can Wait.
Je sais, on s'en fout. Mais comme on va en bouffer pendant un petit moment, ca fait du bien de le dire... :oops:
En gros, charlotte doit tout à Beck, ça ressemble à un mélange de Modern Guilt et de Sea Change mais j'ai beaucoup aimé à part la fin qui traine un peu en longueur.
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