Demain j'ai rendez-vous avec Andrew Bird à l'Epicerie Moderne. Bientôt 4 ans que j'attends ça. Depuis The Mysterious Production of Eggs et le concert lyonnais auquel j'avais envoyé un ami sans pouvoir m'y rendre moi-même. 4 ans à lire des comptes-rends élogieux des performances du siffleur le plus célèbre de la planète indé. 4 ans aussi (et surtout) passer à écouter ses excellents albums.
La recette Andrew Bird : un violoniste de formation, amoureux des belles orchestrations et des tous petits détails qui changent tout. Ajouter un soupçon de sifflement, histoire de mériter le patronyme et vous obtenez un artiste unique en son genre et très recommandable.
Petite playlist pour découvrir Andrew Bird donc, avec deux morceaux (1 et 4) extraits de son album de 2005 et deux autres (2 et 3 si vous avez bien suivis) tirés de Armchair Apocrypha, paru en 2007.
La recette Andrew Bird : un violoniste de formation, amoureux des belles orchestrations et des tous petits détails qui changent tout. Ajouter un soupçon de sifflement, histoire de mériter le patronyme et vous obtenez un artiste unique en son genre et très recommandable.
Petite playlist pour découvrir Andrew Bird donc, avec deux morceaux (1 et 4) extraits de son album de 2005 et deux autres (2 et 3 si vous avez bien suivis) tirés de Armchair Apocrypha, paru en 2007.
M. Bird a publié un nouvel album, Noble Beast au début de l'année, que je recommande très fortement (si possible accompagné de son double instrumental Useless Creatures). Le monsieur a même raconté le processus de création de l'album (et notamment l'écriture du génial Oh No!) dans un excellent blog du New York Times, que je recommande tout autant (la combinaison des deux étant parfaite).
La suite, demain soir sur scène ;-)
La suite, demain soir sur scène ;-)
(Crédit photo : Artypop et La Blogothèque)
1 commentaire(s):
Je suis tombée par hasard sur ton blog via lastfm, j'ai écouté et j'ai adoré. Merci pour la découverte :)
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