On devrait toujours se méfier des préjugés. Par exemple, le gros logo Universal sur le dernier album de Anna Ternheim, Leaving On A Mayday m'a presque fait hésiter. Pourtant, je connaissais déjà Anna, découverte via l'émission de Bernard Lenoir avec l'album Separation Road et grandement apprécié pour des perles telles que Girl Laying Down et Today Is A Good Day. Mais bon, mine de rien, autocollant Universal + célébrations multiples aux Grammys suédois, plus vente de millions d'albums, ça fait peur. Peur de se retrouver à écouter l'équivalent suédois de Zazie.
J'ai attendu deux semaines et puis je l'ai quand même acheté.
Première écoute, premier morceau, premier coup de foudre. Ouverture à la basse. Depuis que j'ai entendu Unknown Pleasures, je suis amoureux des morceaux qui débutent à la basse. Une envoléee de cordes, une rythmique tribale. Et la voix d'Anna qui vient se poser sur le tout. Premier constat : la production (signée Björn Yttling, plus connu en compagnie de ses acolytes Peter et John) est parfaite. Contrairement à cette bonne vieille chanson française où l'instrumentation est trop souvent sacrifiée au profit de la voix et des paroles (...), ici chaque pièce du puzzle s'assemble à merveille et le total vaut infiniment plus que la somme des parties.
Heureusement pour ne rien gâcher, la voix d'Anna est pafaite. On pense beaucoup sur ce morceau au premier album de sa compatriote Lykke Li, très bonne surprise de l'année dernière.
C'est con les préjugés quand même, démonstration en trois actes, avec la version album de ce magnifique What Have I Done, suivie d'une version acoustique et d'une version live, histoire de montrer que Miss Ternheim s'en sort très bien de toutes les situations. Même si j'ai quand même une petite préférence pour la version album (chapeau Mr. Yttling).
J'ai attendu deux semaines et puis je l'ai quand même acheté.
Première écoute, premier morceau, premier coup de foudre. Ouverture à la basse. Depuis que j'ai entendu Unknown Pleasures, je suis amoureux des morceaux qui débutent à la basse. Une envoléee de cordes, une rythmique tribale. Et la voix d'Anna qui vient se poser sur le tout. Premier constat : la production (signée Björn Yttling, plus connu en compagnie de ses acolytes Peter et John) est parfaite. Contrairement à cette bonne vieille chanson française où l'instrumentation est trop souvent sacrifiée au profit de la voix et des paroles (...), ici chaque pièce du puzzle s'assemble à merveille et le total vaut infiniment plus que la somme des parties.
Heureusement pour ne rien gâcher, la voix d'Anna est pafaite. On pense beaucoup sur ce morceau au premier album de sa compatriote Lykke Li, très bonne surprise de l'année dernière.
C'est con les préjugés quand même, démonstration en trois actes, avec la version album de ce magnifique What Have I Done, suivie d'une version acoustique et d'une version live, histoire de montrer que Miss Ternheim s'en sort très bien de toutes les situations. Même si j'ai quand même une petite préférence pour la version album (chapeau Mr. Yttling).
3 commentaire(s):
J'ai découvert la miss via cet album et bien m'en a pris. Vraiment un bel album. Savoir qu'elle était chez Universal m'a aussi rebuté. Mais bon, c'est vite passé. Vraiment belle découverte.
J'ai adoré l'album, froid et superbement produit par Björn.
Un peu déçu par le nouvel album de mon coté, je n'y ai pas trouvé de titres aussi beaux que To be gone ou A French love.
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