Il n'y a pas eu de SNY dimanche. Mais s'il y en avait eu un, il aurait sans doute été plutôt sombre.
J'ai chopé une merde à l'oreille (otite moyenne à cause du vol en avion de la semaine dernière dixit l'ORL). Résultat je suis sourd d'une oreille et ça me fait un mal de chien. Evidemment ce week-end, j'avais prévu d'aller faire un tour du côté de Clermont-Ferrand pour le festival Europavox. Résultat : j'ai du annuler la moitié des concerts que je devais voir ce concert et n'ai pu que moyennement apprécier ce que j'ai vu. J'ai finalement du renoncer à Loney Dear, l'artiste que je voulais le plus voir ce week-end.
Et puis j'ai reçu mes CDs. Plutôt bonne nouvelle à priori. Je vais pouvoir me remonter le moral en écoutant le nouveau Phoenix. Sauf qu'écouter de la musique me fait super mal à l'oreille. Alors forcément, sans musique, je déprime un peu.
Neil Young en 1974-75 devait être autrement plus déprimé. En témoignent deux albums extraordinaires Tonight's The Night et On The Beach (enregistré dans cet ordre, mais paru dans l'autre). Il faut s'appeler Neil Young pour appeler On The Beach son album le plus noir. Absence de refrains, de classiques instantanés, quasiment aucun morceau dans les différents best-ofs mais deux albums considérés assez régulièrement comme les plus aboutis du Loner. A éviter d'écouter quand ça vraiment mal, exemple avec ce Révolution Blues crépusculaire. D'un autre côté, ça permet de relativiser ;-)
J'ai chopé une merde à l'oreille (otite moyenne à cause du vol en avion de la semaine dernière dixit l'ORL). Résultat je suis sourd d'une oreille et ça me fait un mal de chien. Evidemment ce week-end, j'avais prévu d'aller faire un tour du côté de Clermont-Ferrand pour le festival Europavox. Résultat : j'ai du annuler la moitié des concerts que je devais voir ce concert et n'ai pu que moyennement apprécier ce que j'ai vu. J'ai finalement du renoncer à Loney Dear, l'artiste que je voulais le plus voir ce week-end.
Et puis j'ai reçu mes CDs. Plutôt bonne nouvelle à priori. Je vais pouvoir me remonter le moral en écoutant le nouveau Phoenix. Sauf qu'écouter de la musique me fait super mal à l'oreille. Alors forcément, sans musique, je déprime un peu.
Neil Young en 1974-75 devait être autrement plus déprimé. En témoignent deux albums extraordinaires Tonight's The Night et On The Beach (enregistré dans cet ordre, mais paru dans l'autre). Il faut s'appeler Neil Young pour appeler On The Beach son album le plus noir. Absence de refrains, de classiques instantanés, quasiment aucun morceau dans les différents best-ofs mais deux albums considérés assez régulièrement comme les plus aboutis du Loner. A éviter d'écouter quand ça vraiment mal, exemple avec ce Révolution Blues crépusculaire. D'un autre côté, ça permet de relativiser ;-)
Heureusement, dimanche soir, pour me remonter le moral (même d'une oreille), il y avait Toy Fight !
4 commentaire(s):
Cool pour Toy Fight, c'était bien ?
Je pense à un truc qui n'a rien à voir pommedepin mais ça serait cool que tu ajoutes un "profil" disponible dans l'ajout d'un commentaire. Celui de nom/URL pour ceux qui ne sont ni sur blogger (compte Google), ni sur OpenID, ni sur Wordpress (enfin ceux qui hébergent leur blog, pas les autres qui ont un compte wordpress).
T'as aussi le droit de dire que je suis chiante bien entendu.
Yop, normalement c'est open maintenant !
A propos de Revolution bles et d'On the beach qui est mon album préféré deNeil Young...
Je crois que j'avais découvert ton blog via cet article. Dans la seconde d'après il était dans mes signets. C'est un peu le genre de billet que je rève d'écrire en fait...
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