Il y a quelques semaines, j'avais entamé un billet sur ce joli morceau de Balearic Pop qui collait bien à l'été indien californien. Ironie du sort ?
[Track of The Day] Lavinia Blackwall - The Art of Leaving
Il y a 3 jours
Il y a quelques semaines, j'avais entamé un billet sur ce joli morceau de Balearic Pop qui collait bien à l'été indien californien. Ironie du sort ?
Here I lie in my hospital bed
Tell me, Sister Morphine, when are you coming round again?
Oh, I don't think I can wait that long
Oh, you see that I'm not that strong
Ironie du sort : après avoir passé la semaine à étudier les causes de la crise énergétique californienne en 2000-2001 (crise ayant entraîné une série de blackouts à travers le Golden State), tout mon quartier s'est retrouvé dans le noir pendant 3 heures hier soir.
"Ça y est, cette andouille radote." C'est ce que vient de se dire à l'instant la personne qui suit régulièrement cette rubrique (s'il y en a encore une...).The night isn't black,Arrivé ce moment, mes yeux étaient devenus tout humides. Mais ça, c'était à cause du vent et du brouillard. Enfin, je crois.
if you know that it's green.
Don't bother looking,
you're too blind to see
Who's coming on
like he wanted to be.
Nombreuses sont les raisons pour enregistrer sous un pseudonyme. Un nom pas franchement scénique, par exemple. Ou le besoin de se recréer une identité. Souvent les deux. N'est-ce pas messieurs Zimmerman, Starkey ou Jones ?
Je ne veux pas vous rendre jaloux.
Les surprises viennent parfois de là où ne les attend plus. Après le succès aussi éclatant qu'inespéré d'Arcade Fire, le monde du rock a fait avec la scène indé canadienne ce qu'il avait fait avec la scène grunge de Seattle dans la foulée du succès de Nirvana dans les années 90. A savoir exhiber n'importe quel nouveau groupe du coin comme "the next big thing". Avec quelques belles découvertes à la clé, mais aussi pas mal de déchet - un certain nombre de groupes dont on n'aurait jamais entendu parler autrement et qui se retrouvait brutalement sur un piédestal à feuille d'érable. Et corollaire de la chose, une certaine méfiance une fois la bulle dégonflée.
J'ai encore perdu un temps fou ce week-end. Alors pour faire court, faisons court.
Grâce à l'indispensable Heebooh, j'écoute RiEN.
Il fait un peu gris ici. Vu que c'est le cinquième jour en deux mois, je ne vais pas me plaindre. Mais avec la perspective jamais réjouissante d'un week-end en intérieur à réviser des mid-terms, j'avais bien besoin d'un petit remontant.
Absolutely Kosher, label indépendant de la région de San Francisco (Emeryville, a quelques pas de chez moi) maison d'excellents artistes, comme Xiu Xiu, Chris Garneau, The Wrens ou encore Frog Eyes a apparemment besoin d'un peu de cash flow et de places pour ses stocks et propose une initiative originale.Si vous ne l'avez toujours pas écouté, There Is No Enemy est sur Spotify.
Comment ça, de quelle groupe je parle ?
Profitons du test de la future version de Grooveshark pour ressortir des cartons une vieille playlist. Celle-ci ne se veut en aucun cas un inventaire exhaustif et encore moins une playlist pointue pour les connaisseurs de la période (pour ca, je ne peux que recommander cette playlist (œuvre de ce monsieur) ou les Post Punk Mixes (découverts, comme souvent, chez KMS), mais aurait pu s'intituler, Les années 80 pour les Nuls ou Post-Punk 101, pour tous ceux qui penserait encore que les années 80 n'ont produit que Jean-Louis Aubert et Phil Collins.
Ce matin, une de mes admiratrices secrètes, qui se plaint que je ne l'appelle pas assez et qui préfère espionner ce que je fais via facebook, twitter et ce blog, m'a fait remarquer que je n'avais pas encore posté mon Neil Young ce dimanche. Ce SNY lui est donc dédié (sans rapport avec le morceau du jour).
Le nouveau Built to Spill, There Is No Enemy est en écoute intégrale sur leur Myspace. Je vous dirais bien que c'est le meilleur album de l'année mais je ne l'ai pas encore écouté. Car je pense a toi avant tout cher lecteur.